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Revue de presse « Comment réussir sa migration clandestine » de Salim Zerrouki

FRANCE5 EMISSION C ce Soir

Présentation de la BD « Comment réussir sa migration clandestine » de Salim Zerrouki par Camille Diao, chronique la liste de Camille dans l’émission C ce soir sur France5.

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JEUNE AFRIQUE du 02 avril 2021

Salim Zerrouki, ou comment réussir sa migration clandestine.

Par Frida Dahmani : https://www.jeuneafrique.com/1146316/culture/salim-zerrouki-ou-comment-reussir-sa-migration-clandestine/?fbclid=IwAR3-UTf-FkgX4sploHNeqPIa0EyKhpyD0M_4kLafuTZ7riXNXind9kLF5Zw

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Les Inrockuptibles du 07 avril 2021

L’exil entre lumière et satire dans deux BD à découvrir sans attendre

Chacun·e à sa manière, sensible ou acide, la Française Sandrine Martin et l’Algérien Salim Zerrouki racontent le parcours du combattant vécu par les migrant·es.

Par Vincent Brunner https://www.lesinrocks.com/livres/lexil-entre-lumiere-et-satire-dans-deux-bd-a-decouvrir-sans-attendre-370334-02-04-2021/?fbclid=IwAR1xg09e7uk4gSjQNEPpF_I4tA1uFIiLSDQen-i0Pb8HDiOCd80Iue5AETA

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TV5 Monde Emission Maghreb Orient Express

Salim Zerrouki invité par Mohamed Kaci dans l’émission Maghreb Orient Express sur TV5 Monde

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Le Monde du 07 avril 2021

En Tunisie, une bande dessinée coup de poing sur la migration

Dans son dernier album « Comment réussir sa migration clandestine », l’auteur algérien Salim Zerrouki, installé en Tunisie, dénonce les drames oubliés de la Méditerranée.

Par Lilia Blaise https://www.lemonde.fr/afrique/article/2021/04/07/en-tunisie-une-bande-dessinee-coup-de-poing-sur-la-migration_6075781_3212.html

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Le télégramme du 07 avril 2021 / AFP

Un dessinateur algérien caricature la migration clandestine en BD

Avec beaucoup d’autodérision et d’audace, Salim Zerrouki publie un recueil intitulé « Comment réussir sa migration clandestine ». Sa façon à lui de dénoncer un scandale humanitaire mondiaL.

Par Carolyne Perrot Nelly / AFP Tunis https://www.letelegramme.fr/livres/un-dessinateur-algerien-caricature-la-migration-clandestine-en-bd-07-04-2021-12731931.php

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L’Obs du 15 avril 2021

Avec sa BD « Comment réussir sa migration clandestine », Salim Zerrouki frappe les esprits

Dans une BD choc publiée en mars, le dessinateur algérien Salim Zerrouki évoque le sort tragique des candidats à l’émigration vers l’Europe. Des planches à l’humour caustique, toutes inspirées de faits réels.

Cynique. Amer. Cruel. Salim Zerrouki n’en est pas à son coup d’essai en matière d’humour noir. Avec sa BD « 100 % Bled. Comment se débarrasser de nous pour un monde meilleur » (éditions Encre de nuit, en France, et Lalla Hadria, en Tunisie), il nous avait initiés en 2018 à son ton grinçant, son talent d’autodérision, sa capacité d’appuyer là où ça fait mal en caricaturant les travers des sociétés maghrébines et les clichés racistes. Mais avec « Comment réussir sa migration clandestine » (mêmes éditeurs), le dessinateur algérien noircit encore le trait.

Plongeant sa plume dans une ironie cruelle, insoutenable parfois tant les faits décrits sont inhumains, Salim Zerrouki place le lecteur devant le terrible quotidien des candidats à la migration vers l’Europe. On aurait aimé louer son talent à manier la dystopie. Mais les histoires qu’il met en scène – viol, torture, vente d’organes, humiliations macabres… – sont toutes basées sur des faits décrits dans des articles, consultables en utilisant un QR code fourni à la fin de l’ouvrage. Ces migrants, cibles du trafic d’organes ou abandonnés dans le désert par les autorités algériennes, ne sont pas le fruit d’une imagination malsaine de l’auteur, mais des êtres de chair et de sang qui ont bien subi ces maltraitances.

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Par Céline Lussato https://www.nouvelobs.com/monde/20210415.OBS42818/avec-sa-bd-comment-reussir-sa-migration-clandestine-salim-zerrouki-noircit-le-trait.html#

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InfoMiigrants du 20 avril 2021

Interview de Salim Zerrouki par Leslie Carretero

« Réussir sa migration clandestine », la BD qui utilise l’humour noir pour dénoncer le sort réservé aux migrants

Dans sa bande dessinée « Réussir sa migration clandestine » parue aux éditions Encre de nuit, le dessinateur algérien Salim Zerrouki utilise l’humour noir et le second degré pour décrire les épreuves endurées par les migrants en route vers l’Europe. Une œuvre pour « réveiller les consciences », explique-t-il. Entretien avec l’auteur.

Violences dans les prisons libyennes, trafic d’organes, naufrage en mer Méditerranée, racisme au Maghreb, abandon dans le désert… À partir de neuf histoires tirées de faits réels – notamment de témoignages d’InfoMigrants -, l’auteur algérien Salim Zerrouki délivre dans sa bande dessinée « Réussir sa migration clandestine » (éditions Encre de nuit) des conseils absurdes aux migrants en route vers l’Europe. Du kit de survie à l’élixir pour stopper les battements du cœur le temps de traverser une frontière, l’auteur utilise l’humour noir et le second degré pour dénoncer le sort réservé aux migrants. Entretien.

Par Leslie Carretero (InfoMigrants / France24) Lire l’article

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La cité Internationale de la BD et de l’image – Angoulème

Interview de Jack Lang, ancien ministre de la Culture et Directeur de l’Institut du Monde Arabe

La sélection de bandes dessinées de Jack Lang « J’aime la bande dessinée sous toutes ses formes. J’aimerais rendre hommage en particulier aux bandes dessinées qui parlent du monde arabe ou qui ont une relation avec celui-ci. Elles sont le fruit d’un métissage qui m’est cher

Lire l’article

Le photographe tunisien Jellel Gasteli présente son dernier ouvrage « Barkhanes »: Hommage à une Tunisie méconnue

Interview de Jellel Gasteli sur son nouveau livre « BARKHANES », collection Art/Photo aux éditions Lalla Hadria dans le HuffPostMaghreb par Anissa Mahdaoui :

En juin dernier, le HuffPost Tunisie rencontrait le photographe tunisien Jellel Gasteli dans le cadre de son exposition photographique « Les Carnets de Marrakech et de Tanger » à l’Institut Français de Tunis.

Aujourd’hui c’est avec « Barkhanes », son dernier ouvrage d’ampleur publié aux Éditions Lalla Hadria, centré cette fois sur des images de sa Tunisie natale que l’artiste revient dans une interview exclusive.

Comment s’est déclenchée cette collaboration avec Lalla Hadria Éditions?

Jellel Gasteli: J’avais toujours ça en tête, j’avais mes archives et Nicolas Fauqué, qui dirige les éditions Lalla Hadria m’a proposé de publier un livre en me donnant carte blanche donc pour moi c’était l’occasion ou jamais de faire ce que j’avais envie de faire depuis longtemps. J’avais ces clichés, pris sur une dizaine d’années, et je voulais en faire une histoire.

Vous êtes déjà l’auteur de plusieurs publications comme Il Fiore Sbocciato publié aux éditions AF Bari, en 2001 ou encore Série Blanche, avec les éditions Eric Koehler, l’Alesco et Agnès. B. en 1997. Qu’est-ce que celle-ci a de particulier?

C’est le premier livre que je publie exclusivement sur le Sahara tunisien et le sud de la Tunisie en général, par ce que le Sahara, l’extrême sud de la Tunisie, sont des régions très difficiles d’accès.

Nous partons en groupe de 3 et 4 personnes et nous y passons 4 ou 5 jours en bivouac avec à boire et à manger. Nous vivons dans le désert, dormons là-bas sous les tentes. Nous nous faisons à manger, nous prenons du plaisir, c’est un peu une fête sauf que nous sommes en plein désert. Comme je le dis dans le texte [de l’ouvrage « Barkhanes »] ça fonctionne par affinité, au bout d’un certain temps, nous avons réussi à former un groupe très soudé. Nous allons là bas pour les mêmes raisons, pour le plaisir esthétique de dormir au milieu du sable et des dunes et passer de bons moments ensemble.

Donc c’est une expérience humaine…

Absolument, nous sommes liés par cette passion, donc ce livre résume une dizaine d’années de ballade dans le désert. J’en ai fait le témoin de ce que pourrait être une ballade pour ceux qui ne sont jamais allés dans le désert par exemple.

Ce n’est pas la première fois que vous rendez hommage à la Tunisie dans un ouvrage…

Oui, j’ai publié plusieurs ouvrages sur la Tunisie, La Tunisie entre ciel et terre qui est un livre essentiellement fait de vue aérienne en hélicoptère et, à la fin des années 90, j’ai publié un livre en noir et blanc qui s’appelle En Tunisie. Mais à chaque fois j’ai été obligé de travailler sur l’ensemble de la Tunisie, alors que là c’est beaucoup plus intime.

C’est vraiment ma Tunisie! Je suis très content de publier ce livre car cela me permet de le partager avec des tas de gens qui ne se doutent même pas que ces lieux existent.

D’où vient ce titre « Barkhanes »?

J’ai mis du temps à trouver ce titre, jusqu’à ce que je tombe un jour sur ce mot que j’ai choisi de mettre au pluriel. « Barkhanes » est une formation géologique de dunes sculptées par le vent et qui ont une forme de croissant.

J’ai trouvé que le nom était très évocateur, car on ne sait pas si c’est un nom français ou d’origine arabe et je trouvais que cela sonnait plutôt bien. D’ailleurs tout le livre a un côté mystérieux, c’est une narration visuelle, ça raconte une histoire, c’est une sorte de poésie visuelle, c’est un carnet de voyage, des associations d’images entre elles qui résument des moments que nous avons passés.

Il a des choses dont on ne se doute pas, comme ce magnifique lévrier (NDLR: montre-t-il dans l’ouvrage) qui est protégé après l’effort, c’était une chasse qu’on avait faite avec des éleveurs de sloughis (NDLR: lévriers arabes) à Douz, qui protègent et prennent soin de leurs chiens comme je l’ai rarement vu. Les chiens sont bichonnés, ils ont les pattes avec du henné, dès qu’ils ont fini de courir, ils les couvrent pour ne pas qu’ils aient froid après avoir transpiré, ils leurs donnent de l’eau… c’est presque comme des chevaux de course.

Il y a aussi de grands paysages, comme cette dune qui s’appelle Sif Essouane qui est la plus haute du Sahara tunisien, qui est une véritable montagne, qui fait 350m de haut. C’est spectaculaire et extrêmement difficile d’accès. Il faut 2 jours pour faire 40 km, une fois arrivé là bas, si tu regarde bien tu vois des gazelles, tout un univers qu’on ne voit pas à la sortie de Douz par exemple.

Encore une fois l’idée est de partager cette Tunisie très peu connue et qui ne correspond pas à l’imagerie habituelle qu’on a de la Tunisie pittoresque un peu folklorique.

En juin dernier vous rendiez hommage à votre ami, le poète Abdelwahab Meddeb (1946-2014) à travers une exposition photo. Quels sont vos projets?

Je continue sur ce projet de carnets d’Abdelwahab Meddeb, qui sera complètement différent dans la mesure où on va utiliser les photos de cet hommage et je vais aller en faire d’autres car je dois aller dans dans d’autres villes et d’autres pays pour continuer dans la même veine et je pense que j’en ferai un livre, d’ici 1, 2 ou 3 ans, toujours avec Lalla Hadria dans un format plus important.

L’ouvrage, qui comporte 76 photos, est actuellement disponible en Tunisie, il devrait faire l’objet d’une exposition au mois d’avril au 32Bis à Tunis pour sa présentation officielle.

Lien de l’article sur le HuffPostMaghreb

Exposition en cours à la galerie Le32bis à Tunis

Un livre photo / une exposition photo … voilà le concept de la nouvelle collection Art Photo de notre maison d’édition. Le premier « Nomad’s Land » de Yoann Cimier est en librairie dès cette semaine et l’exposition est en cours pendant un mois à la galerie Le32bis de Tunis.

Exposition du 12 décembre 2015 au 9 janvier 2016 à la galerie Le32bis au centre ville de Tunis du mardi au samedi de 12h30 à 19h30. Plus de 50 photographies grand format exposées sur trois niveaux extraites du nouvel ouvrage de la collection Art Photo.

Exposition photo + Signature du Livre Nomad’sLand de Yoann Cimier

Le livre Djerbahood primé par l’Académie des beaux-arts

Mercredi 18 novembre 2015 : Séance solennelle de l’Académie des beaux-arts

La cérémonie sous la Coupole de l’Institut de France « honorait les artistes et les créateurs qui par leurs talents et leurs œuvres concourent à la vie culturelle de notre pays et s’opposent ainsi à la barbarie », selon les mots du président de l’Académie des beaux-arts et de l’Institut, Aymeric Zublena.

Lors de cette cérémonie Mehdi Ben Cheikh, auteur du livre « Djerbahood« , a reçu le Prix Bernier Beaux Livres 2015 de l’Académie Française des Beaux-Arts pour l’ouvrage « Djerbahood » éditions Albin Michel (Paris) et Lalla Hadria Editons (Tunis).

Le livre Djerbahood primé : Le Prix Méditerranée du livre d’art 2015

Prix-mediteranee-djerbahood-2 Le Prix Méditerranée du livre d’art 2015 dans la catégorie Beaux Livres a été remis le 26 Septembre dernier au Livre Djerbahood publié aux éditions Albin Michel (France) et Lalla Hadria Editons (Tunisie)

Le Prix Méditerranée du Livre d’art (PMLArt) , créé à l’occasion du 30e anniversaire du Prix Méditerranée fondé par le Centre Méditerranéen de Littérature en 1985, a été attribué mardi 23 juin 2015 à Paris, à Mehdi Ben Cheikh pour son livre Djerbahood (éd. Albin-Michel). Véritable livre-objet, Djerbahood est une expérimentation de ce que pourrait être le musée idéal du mouvement Street Art.

Des maisons d’éditions spécialisées dans le livre d’art célèbrent tous les ans la Méditerranée et ses univers pluriels. Le Prix Méditerranée du livre d’art consacrera désormais chaque année un ouvrage et un catalogue qui rend hommage à notre Mare Nostrum. En outre il décernera un prix spécial « coup de cœur du jury ».